Lutte contre la désertification - Des millions d’hectares menacés

Yasmine S. Z. SOURCE

OUI LES CHIFFRES SONT ALARMANTS , MAIS LA REALITE DU PHENOMENE EST TRES APPARENTE , L'EROSION ET LA DEGRADATION DES SOLS EST LA ,ELLE NOUS PARLE D'ELLE MEME .
QUAND ON REGARDE NOS MONTAGNES DENUDES ,NOS TERRES AGRICOLES REDUITES ,DES GRIFFES QUI SE SONT TRANSFORMEES EN GRANDS TALWEGS ,ON SE POSE LA QUESTION A SOIS MEME ,QUEL EST NOTRE ROLE POUR STOPPER TOUS CA ? IL NE SUFFIT PAS DE FAIRE DES TRAVAUX DE CORRECTION TORRENTIELLE OU DES REBOISEMENT QUI SE LIVRENT A EUX MEME APRES LA RECEPTION DEFINITIVE DES TRAVAUX , IL FAUT PLUS , LA CONTINUTE POUR PRESEVER SES REBOISEMENTS ,REVENIR SUR LES LIEUX DE LA CORRECTION TORRENTIELLE APRES LES ATTERISSEMENTS , LA C 'EST NOTRE ROLE, MAIS D'AUTRES FACTEURS PEUVENT ENGENDREES CETTE DEGRADATION , LE PLUS INCONTROLABLE EST LE FACTEUR ANTHROPOLOGIQUE "LIES A L 'HOMME LUI MEME" .
JE TROUVE QUE L'INTEGRATION D'AUTRES SECTEURS DANS LE CONTEXTE DE LA SAUVEGARDE DES SOLS SERAI LA CLEF D'UNE REUSSITE , QUE JE NE DITS PAS A 100 % MAIS A 50 % .
JE PENSE QUE LES SECTEURS QUI FERONT FACE A SE PHENOMENE SONT L'HYDRAULIQUE ,LES TRAVAUX PUBLICS ,LES SERVICES AGRICOLES ET L'ENVIRONNEMENT .

salut à tous

c'est un sujet important

la désertification est un fléau difficile de le stoppé

mais je crois que faire diminué la désertification serait notre role

si les facteurs liés seront attribués

et je suis d'un avis un peu différent de mr foret 31

car l'echec flagrant du Haut Commissariat des Steppes n'est pas loin de nous malgrés le budget immense qu'elle à dépensé

salut mes collègues,
je suis tout à fait d'accord avec quant vous dites la désertification représente une véritable menace non pas pour les régions steppiques mais aussi pour le tell.
plusieurs projets sont faites pour arrêter l'avancement des dunes mais ils sont tous voués à l'échec, il me pari utile de poser la question pourquoi cet échec.
le barrage verts que l’Algérie a lancé dans les années 70 est une très bonne initiative mais le manque d'encadrement technique et le manque de la technicité a fait que le projet n'a pas atteint les objectifs attendus.
arrêter le sable de s'avancer est pratiquement impossible mais le freiner est possible.
il faut que l’état lance des projets pilotes dans ce sens en intensifiant le reboisement par des espèces autochtones et endémiques aux déserts et on peut même introduits des espèces qui résistent aux conditions édaphoclimatiques du désert.
ce type de projets va freiner sans doute l'avancement du sable mais il va créer des micro climats à l'intérieur de ces régions boisées ce qui permet la création de l'emploi, des lieux de loisir et de détente pour les familles limitrophes.

http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2011/09/01/article.php?sid=122247&cid=2

Actualités : CONFÉRENCE MONDIALE SUR LA LUTTE CONTRE LA DÉSERTIFICATION
Alger veut réunir l’Afrique autour d’une position commune



Alger réunira, entre le 7 et le 9 septembre, les 53 pays africains en perspective de la Conférence mondiale sur la lutte contre la désertification prévue entre le 10 et le 20 octobre au Japon. Hormis le désir de l’Algérie de fédérer le continent noir autour d’une position commune à Tokyo, cette rencontre préparatoire régionale sera l’occasion de développer la coopération Sud-Sud dans le domaine.
Mehdi Mehenni - Alger (Le Soir) - Les conventions issues des Nations unies restent des outils de pression énormes entre les mains des puissances mondiales. Certaines, comme celle des changements climatiques, dite la «convention des pays riches», cachent des enjeux politiques majeurs. Alors que d’autres conventions qui touchent plus les pays pauvres demeurent marginalisées. La Conférence mondiale sur la lutte contre la désertification intervient dans une conjoncture particulière, étant donné que la famine ravage les pays de la Corne de l’Afrique, plus particulièrement la Somalie, alors que la pauvreté n’épargne plus qu’un certain nombre de Nations qui se comptent sur les doigts d’une main. La lutte contre la désertification peut ainsi se présenter comme la solution idoine pour assurer un minimum d’autosuffisance et d’indépendance économique vis-à-vis de l’étranger pour les pays africains. La lutte contre la désertification participe aussi à la stabilité et l’épanouissement des populations de certaines régions sensibles comme le Sahel. Contacté lundi, Khelifa Abdelkader, chargé d’études et de synthèses au niveau du ministère de l’Agriculture, a déclaré qu’Alger, consciente de l’enjeu de cette rencontre mondiale, désire réunir le continent noir autour d’une démarche commune pour aller négocier en force à Tokyo. D’autant plus que deux rencontres régionales regrouperont entre temps les pays de l’Amérique, au Brésil, et ceux de l’Europe, en Allemagne. 35 négociateurs africains bénéficieront d’une formation spéciale de deux jours à Alger, après la tenue de la rencontre régionale entre le 7 et le 9 septembre. Selon toujours Khélifa Abdelkader, cette rencontre préparatoire comptera 15 points à traiter dont les plus importants sont «le financement, l’étude du plan de travail de la convention pour les deux prochaines années et l’évaluation de sa mise en œuvre en termes de performance, ainsi que la prospection des rapports des pays et les meilleures pratiques mondiales et africaines». Seront également débattus les mécanismes de la coordination régionale et l’implication de la société civile dans la lutte contre la désertification. Ces deux derniers points s’inscrivent dans le cadre de la coopération Sud-Sud que l’Algérie veut encourager dans le domaine. Cela s’appuiera sur une démarche commune lors de l’adoption du rapport final de la rencontre. Pour rappel, l’Algérie est l’un des pays initiateurs de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification issue des négociations du Sommet de la Terre de Rio, en 1992. Aussi l’Algérie a été l’un des premiers pays à l’avoir ratifiée après son adoption le 17 juin 1994 à Paris. D’où la Journée mondiale de la lutte contre la désertification. La totalité des pays africains ont d’ailleurs ratifié cette convention, ce qui constitue un message très fort pour la communauté internationale. Avec un budget annuel de plus d’un milliard de dollars, l’Algérie occupe actuellement avec le Brésil la première place au monde en matière de financement de la lutte contre la désertification.
M. M.

Qu'est-ce que vous pensez du Mzawek mel bara, wech hwalou men el dakhel !!!